Ouvrage de 278 pages publié chez La Croisée des chemin en 2022. Pour se désennuyer et faire un peu d’argent, Omar qui ne s’accomplissait pas dans son travail à l’administration, investit dans une laverie appelée pompeusement Néfertiti, pas loin du Manoir, un atelier où il s’était lié d’amitié avec des peintres ayant pignon sur rue, non loin également du bar Casablanca où il rencontrait les habitués et du Koutoubia fréquenté par les musiciens et les chanteurs de la radio d’à côté, devenus de véritables copains. La laverie lui apporta le bonheur en lui permettant de rencontrer la femme de sa vie, la mère de Malika. Une ombre au tableau. La jeune fille tomba gravement malade et il fallait la soigner en France. Néfertiti devait être mise au clou. La solidarité des gens du quartier avait agi spontanément. La générosité des peintres du Manoir, l’intervention de Monsieur Bill l’Américain et celle de Hamid, le père biologique de Malika ainsi que la sollicitude et le soutien surprenant d’autres personnages…. Qu’importait Néfertiti ; Il fallait sauver Malika.
Ahmed Tazi est né en 1950 à Fès et vit à Rabat. Économiste, ancien membre de l’Inspection Générale des Finances. Néfertiti lave plus blanc est son quinzième titre.
Voici quelques livres du même auteur : Le grenadier a plus d’un tour dans son sac (2019) ; On achève bien les chevaux (2016) ; Du plomb dans l’hirondelle (2017) ; Le nez et la coupole (2012) ; Rachel à l’ombre de Jérusalem (2012) ; Du pétrole et des outardes (2011) ; Le jardin andalou (2006) ; Le convoi du chien (2003).