Le Président d’origine Magyar, dont le père est un primo-migrant venant de Hongrie et la mère d’origine juive turque, est sans doute le meilleur humoriste même si son maniement de la langue française laisse à désirer, comme le montre cette déclaration entachée de fautes : « J’aurais l’homme politique [sic] dans l’histoire de la Cinquième qui aurait été examiné sous toutes les coutures et dans tous les sens. », estime-t-il. Néanmoins, Nicolas Sarkozy assure avoir toujours confiance en la justice de son pays. « Mais je suis stupéfait quand je vois un syndicat de magistrats faire un mur des cons », nuance-t-il. Sarra9 Zyte Sar9ozy (voleur d’huile en Arabe, cafard en Marocain, Petit marécage en Magyar, selon le comédien Français d’origine hongroise, Laurent Deutsch), le géniteur du ministère de l’identité nationale restera à jamais Le Président, avec un grand P…, qui a libéré la parole raciste. Il a ciblé les délinquants d’origine étrangère, à l’occasion de l’installation du nouveau préfet de l’Isère, vendredi 30 juillet 2010, à Grenoble, une décennie avant le Berbère judaïsé d’Algérie, Éric Zemmour et ses Zémmourroïdes ! Sarra9 Zyte Sar9ozy, bien longtemps avant 5nouna Narine Bent Bouha La3war (la morveuse fille de son père le Borgne), voulait déjà supprimer le droit du sol et semer la zizanie dans le petit village gaulois : il voulait que « l’acquisition de la nationalité à l’âge de 18 ans pour un mineur délinquant né en France de deux parents étrangers ne soit plus un droit. ». Cet ignare a juste oublié que ce droit existe depuis 1315 dans un édit royal.
Le droit de la nationalité est le reflet de l’histoire et de l’idéologie migratoire. Le droit du sang prédomine dans les pays d’émigration qui souhaitent maintenir des liens d’allégeance avec leurs expatriés alors que le droit du sol prédomine dans les pays d’immigration. Devenu French Président, il dénonce « l’angélisme et la naïveté » et balaie les critiques sur son propre bilan et sa propre politique alors que c’est lui-même qui a supprimé la police de proximité dès 2002 et réduit les effectifs policiers à partir de 2007. Sarra9 Zyte Sar9ozy sature l’espace médiatique en espérant que le bruit fera oublier les affaires. C’est plus fort que lui. Comme Silvio Berlusconi, il n’échappe pas à sa nature profonde. Interrogé sur l’affaire Bygmalion portant sur les comptes de campagne du candidat à la présidentielle, Nicolas Sarkozy assure n’avoir appris ce nom de Bygmalion que plus tard. « Ma campagne électorale n’a pas coûté un seul centime au contribuable vu qu’elle est la seule à ne pas avoir été remboursée » rappelle-t-il. « On ne me reproche rien dans l’affaire Bygmalion. La justice est saisie. Elle se prononcera. ». Sarra9 Zyte Sar9ozy a dû trahir dans tous les sens pour arriver à ses fins. Un autre Nicolas, Machiavel, définissait la trahison comme une vertu politique qui n’a que peu à faire avec la morale ou la haine ».
Avide de pouvoir, Sarra9 Zyte Sar9ozy veut changer les choses, même s’il doit changer d’opinion. Il a commencé par trahir le Corse fort en gueule Charles Pasqua pour lui piquer la mairie de Neuilly, puis il a trahi Chirac pour se rapprocher d’Edouard Balladur, pour ensuite revenir vers Chirac et le trahir à nouveau comme l’avait fait ce dernier avec Chaban-Delmas. Cette démarche a été avalisée par une majorité de French électeurs et l’a porté jusqu’au trône de l’Elysée, le siège de la monarchie républicaine française. Sarra9 Zyte Sar9ozy a souffert de la trahison de son mentor en racisme, Patrick Buisson : « Dans ma vie, j’en ai connu des trahisons, mais comme celle-là, rarement », réagit l’ancien French Président à propos de Patrick Buisson. Impitoyable envers Sarkozy qui l’a trahi pour faire la campagne de Balla mou (Balladur dans le civil), Chirac ironise ainsi sur Sarra9 Zyte Sar9ozy : « Il faut lui marcher dessus, ça porte bonheur ! ». C’est une blague pourrie qui ne peut pas être comprise sans connaître une des croyances françaises qui pense que « marcher sur une m… ça porte bonheur ».
Jules César n’a-t-il pas d’ailleurs lancé cette phrase : « J’aime la trahison, mais je déteste les traîtres. ». Il avait raison car il fut assassiné par Brutus le fils sa maîtresse Servilia. C’est un jeune homme brillant que Cesar a pris sous son aile protectrice, le pensant promis à un grand avenir. Pourtant, le 15 mars de l’an 44, Brutus est l’un de ceux qui percent de vingt-trois coups de poignards le corps de César. “Toi aussi mon fils ?” seraient les derniers mots prononcés par Jules César avant de rendre l’âme, un cri de douleur d’un homme doublement blessé, par le fer, et par la mauvaise surprise de découvrir Brutus, celui à qui il a décidé de confier de nombreuses responsabilités parmi les conspirateurs.