Entre Dominique Voynet et Lionel Jospin, c’est une histoire non pas platonique, mais atomique. La Voynet a donné l’avoinée au trotskiste Jospin ! Ce rouge qui s’est fait ripoliner en rose pour essayer de devenir président de la République s’est fait lamentablement sortir par Le Pen au premier tour des érections présidentielles de 2002… C’était bien La Peine de se présenter pour se vautrer ainsi, ça n’en valait pas Le Pen… Depuis, après avoir reçu l’avoinée de sa vie, l’ex-trotskiste s’est définitivement retiré de la vie politique. Ce garçon aura porté un coup fatal à la recherche française en sabordant le projet nucléaire Superphénix qui avait couté 10 milliards d’euros pour sa construction… Actuellement, ce site coûte « un pognon de dingue » pour sa déconstruction… Aujourd’hui, Internet permet à beaucoup d’organisations de communiquer facilement sur l’abandon par Lionel JOSPIN de Superphénix. Pourtant, de nombreux experts ayant participé au forum Génération IV s’accordent à penser que les RNR – Réacteurs à Neutrons Rapides – ont un niveau de sûreté équivalent à celui d’un réacteur à eau pressurisée. Il s’agit, d’ailleurs, d’une des filières retenues par le forum Génération IV pour les futurs réacteurs nucléaires civils.
Les conséquences de la décision de Lionel JOSPIN ont été graves aussi du point de vue de l’impact sur l’opinion publique tout au long du projet en France : (1) fake news et prévisions trop alarmistes sur le prix de l’uranium, démenties par les faits ; (2) promotion d’une filière à la hussarde, (3) processus de décision sans véritable débat ; (4) communication insuffisant; (5) tergiversations administratives et (6) fluctuations sur le rôle attribué au réacteur. Ce manque de communication de Lionel JOSPIN et de son entourage, dont celle qui fut pendant cinq ans sa conseillère… l’actuelle French Prime Minister de Macroute, Elisabeth Born to be alive, dame qui est en train de dépasser la BORNE en voulant faire trimer les gueux jusqu’à 64 ans a porté tort à la France. Un sénateur macroniste a lui aussi dépassé les bornes en osant dire sur la chaîne de télévision Public Sénat « Mon voisin à l’époque, dans mon village, qui était maçon-couvreur et qui montait sur les toits me disait : ‘‘Je n’en peux plus de monter sur les toits comme ça’’, puis l’aristo de continuer à parler ainsi du gueux : « Aujourd’hui, la nature du travail n’est pas la même. Les déménageurs, les couvreurs, les gens dans les travaux publics sont équipés d’exosquelettes… ».
Cela rappelle l’anecdote rapportée par Jean-Jacques ROUSSEAU dans « ses confessions » : « Enfin je me rappelai le pis-aller d’une grande princesse à qui l’on disait que les paysans n’avaient pas de pain, et qui répondit : qu’ils mangent de la brioche. ». Elisabeth dépasse la BORNE en pensant que si les gueux sont cassés par la vie, ils n’ont qu’à s’équiper d’un exosquelette valant 5000 € ! Un appareil mécanique externe qui permet une articulation artificielle. Les décisions de Lionel JOSPIN d’abandonner Superphénix en 1997 sont très préjudiciables aux boulangers en 2023 car ils ne peuvent plus faire face à leurs factures d’électricité. Ils sont durement frappés car ils utilisent quotidiennement des fours très énergivores. Les 33000 boulangeries françaises voient leur facture d’électricité exploser. Une situation qui devrait perdurer puisque 80% d’entre elles ne sont pas éligibles au bouclier tarifaire. Beaucoup de boulangers voient leur facture multipliée par deux, quatre voire dix en fonction des fournisseurs. « On passe de 1600 euros mensuel à 16000 euros », témoigne sur Radio France Inter Corinne Butard, une boulangère en Seine-et-Marne. Une situation « catastrophique. « Je ne sais pas combien de temps on va pouvoir tenir », dit-elle. « On ne peut pas supporter une telle hausse », regrette l’artisane. (À suivre)