Entre Dominique Voynet et Lionel Jospin, c’est une histoire non pas platonique, mais atomique. La Voynet a donné l’avoinée au trotskiste Jospin ! Ce rouge qui s’est fait ripoliner en rose pour essayer de devenir président de la République s’est fait lamentablement sortir par Le Pen au premier tour des érections présidentielles de 2002… C’était bien La Peine de se présenter pour se vautrer ainsi, ça n’en valait pas Le Pen… Depuis, après avoir reçu l’avoinée de sa vie, l’ex-trotskiste s’est définitivement retiré de la vie politique. Ce garçon aura porté un coup fatal à la recherche française en sabordant le projet nucléaire Superphénix qui avait couté 10 milliards d’euros pour sa construction… Actuellement, ce site coûte « un pognon de dingue » pour sa déconstruction…Une dizaine d’année plus tard, en 2012, Martine et Cécile, la première, Bent Bouha, fille de son père (en Marocain), Jacques Delors, rose socialiste et la seconde, verte et pas assez mure, se rencontrent et signent sur un coin de table un accord de fermeture de 24 centrales nucléaires en treize ans (2012 – 2025).
Pour y parvenir Martine et Cécile se mettent d’accord pour réduire la consommation d’électricité. C’est le début de la politique du « en même temps » ! Demander aux Francis de rouler en électrique et en même temps leur demander de consommer moins d’électricité en débranchant la box internet quand ils partent en vacances. Cette année-là, 2012, le chef des Roses socialistes, François, est élu Roi des Francis pour cinq ans. Le quinquennat de Franck Netherlands (2012-2017) se rétréci en tri-nanas (Ségolène, Valérie et Julie) … Il aurait même été vu, tôt le matin, casqué, roulant sur un scooter tel un livreur d’Uber Eats pour porter des croissants, qu’on présume chauds, à Julie, la fille de son copain Brice Gayet… Ainsi donc, depuis Jospin, chaque nouvel arrivant aux affaires faisait comme si en diminuant le nucléaire, on allait faire plus d’énergies renouvelables. Qu’il est loin, le temps des pionniers de l’indépendance énergétique de la France… Des personnes de la trempe de Marcel Boiteux, né en 1922, aujourd’hui un peu plus que centenaire, ont disparu des cercles du pouvoir. Marcel Boiteux a suivi sa scolarité au Lycée Montaigne à Bordeaux. Normalien en 1942 puis agrégé de mathématiques en 1946. Il rejoint EDF en 1949 où il rebâtit la tarification de l’électricité et participe à l’élaboration d’une approche rationnelle du choix des investissements. Ce n’est qu’en devenant directeur général d’EDF qu’il aborde les problèmes du nucléaire. EDF fait le choix de l’uranium enrichi, et les premières réalisations sont engagées.
Au moment de la crise pétrolière de 1973, EDF était prête à la transition énergétique vers des programmes d’investissements « tout-nucléaire », et s’engage auprès du gouvernement de Giscard d’Estaing à mettre en place, dès 1974, sept à huit tranches nucléaires par année, au lieu d’une seule auparavant. Ce développement va de pair avec celui du développent du chauffage électrique. Pour réduire les coûts d’investissements, Marcel Boiteux décide d’uniformiser et de normaliser la fabrication des centrales nucléaires sur l’ensemble du territoire français. En 1977, il échappe à un attentat terroriste revendiqué par le CACA « Comité d’Action contre les Crapules Atomiques». Pour permettre à Framatome d’exporter des centrales électronucléaires, notamment au Maroc en 1983, à Sidi Boulbra entre Safi et Essaouira, Marcel BOITEUX crée la « Sofratome » (Société française d’études et de réalisations nucléaires), une filiale d’EDF. Marcel Boiteux a beau retourner le problème dans tous les sens, rien ne permettra à la France d’échapper au paradoxe de la situa¬tion dans laquelle elle s’y est mise en faisant couver des œufs de cannes à sa poule EDF… Sa poule aux œufs d’or ! (À suivre)