Entre Dominique Voynet et Lionel Jospin, c’est une histoire non pas platonique, mais atomique. La Voynet a donné l’avoinée au trotskiste Jospin! Ce rouge qui s’est fait ripoliner en rose pour essayer de devenir président de la République s’est fait lamentablement sortir par Le Pen au premier tour des érections présidentielles de 2002… C’était bien La Peine de se présenter pour se vautrer ainsi, ça n’en valait pas Le Pen…
Depuis, après avoir reçu l’avoinée de sa vie, l’ex-trotskiste s’est définitivement retiré de la vie politique. Ce garçon aura porté un coup fatal à la recherche française en sabordant le projet nucléaire Superphénix qui avait coûté 10 milliards d’euros… Le 9 avril 1994, les verts de terre marchent contre Superphénix. Ils sont membres de plus de 250 associations venues de France, de Suisse, d’Italie et d’Allemagne. Ils distribuent de faux billets de 100 francs sur lesquels on lit des fake news « Superphénix coûte 100 francs toutes les cinq secondes» et « Ne pourrions-nous rien faire de mieux de cet argent ? ». La Banque de France porte plainte pour fausse monnaie. Superphénix redémarre en septembre 1995. Ce démarrage est l’occasion d’un vigoureux bras de fer entre la ministre de l’Environnement et le ministre de l’Industrie : la ministre refuse de signer le décret d’autorisation de redémarrage du réacteur et menace de démissionner. L’année 1996 est la meilleure année de production électrique de la centrale, avec une production de 3,392 MILLIARDS de kilowatts-heure (soit un facteur de charge de 31 %), et avec un taux de disponibilité de 95 % hors arrêts programmés. Fin 1996, suite à cette meilleure année de production, Superphénix est définitivement fermé par les politiques ! Début 1997, le Conseil d’État annule le décret d’autorisation de redémarrage pris en 1994.
L’Assemblée nationale constate que « l’arrêt immédiat du réacteur est plus coûteux que la poursuite de l’activité». Selon la Cour des comptes : « Retarder l’arrêt de l’exploitation de la centrale jusqu’à la fin de l’an 2000 aurait probablement été globalement neutre sur le plan financier». Le 19 juin 1997, Lionel Jospin, Premier ministre de Jacques Chirac, annonce : « Superphénix sera abandonné ». La Cour des Comptes a évalué le coût à une dizaine de milliards de nos actuels euros répartis entre les partenaires du consortium européen dont l’électricien italien Enel.
Fin 1998, l’année de la Coupe du Monde de Zinedine Zidane, l’arrêt définitif du réacteur est acté par décret. Parmi les raisons invoquées par l’ex-trotskiste Lionel Jospin, l’ancien rouge écarlate ripoliné en rose pâle et sa verte Dominique L’avoinée, est mentionné le faible prix de l’uranium importé du Niger, qui ne justifierait plus les investissements dans cette filière. Ces raisons fallacieuses invoquées à l’époque – coût prohibitif, échec industriel – seront toutes démenties par une série de rapports, confirmant le caractère strictement opportuniste de la décision … Les frais de dédommagement des actionnaires étrangers, dont la société italienne Enel, déboutée par la décision du gouvernement français, ont été compensés par des fournitures de courant d’EDF entre 1996 et 2000. Depuis une dizaine d’années, Areva démantèle le réacteur Superphénix… Cette déconstruction, fort coûteuse pour le con…tribuable français, devrait s’achever en 2024. Pour l’hiver 2023, ces mêmes politiques, après avoir saigné le con…tribuable français, lui conseillent de porter des pulls à col roulé et d’éteindre sa box internet la nuit avant de se coucher car elle consomme beaucoup de tricinti. Pour faire face aux lyali 7yani, en janvier 2023, Macron va venir demander aux Marocains de lui envoyer des tapis berbères, 7archiches, la3banas, burnous, mjamers bil fa5er… (À suivre)
