Nous célébrons le centenaire de la ville de Khouribga et de l’OCP, l’Office Chérifien des Phosphates ‘‘Loufisse’’ voulu par Lyautey. ‘‘Jnaynar Lotti’’, comme le nommaient les Ouled Abdoun, en signant le décret du 27 janvier 1920, était le seul à être conscient du caractère exceptionnel de ce ‘‘Loufisse’’. Vingt-deux ans plus tard, 1942, l’année du débarquement des Américains au Maroc a marqué les mémoires. Cette année-là, 3am jou3a (littéralement, l’année de la famine), a été décrite comme “3am lalimane (l’année des Allemands)”, évoquant les morts enterrés à la hâte sans linceul, les mariées qui n’ont rien à porter et les réquisitions abusives de cheptel par les Ouled La97… (Fils de Pétain en Français).
Un de ces fils de Pétain, le résident général au Maroc, Noguès, ne perdit pas de temps pour recevoir les Alliés à coup de canon. Ce Noguès, fils d’agriculteur des Hautes-Pyrénées, admis à l’École polytechnique en 1897, a accompli la plus grande partie de sa carrière en Afrique du Nord où, dès 1912, il est appelé au cabinet de Lyautey. Nommé résident Général au Maroc, il trahira la mémoire de son mentor en menant une politique marocaine à l’opposé de la philosophie bienveillante de Jnaynar Lotti et de sa politique protectrice pour la sauvegarde de l’âme marocaine. Noguès veut dire «les noyers » en Occitan et « guerga3 » en Marocain. Les « Guerga3 » sont encore aujourd’hui très présents en Occitanie, ainsi que dans le sud de la France. La mère de l’actuel French President est une ‘‘Guerga3a’’ (Françoise Noguès). De la walida (la génitrice de ses jours en Arabe) de l’actuel président de la République française, très peu d’informations ont fuité.
Aussi sait-on seulement qu’elle est médecin-conseil de la Sécurité sociale. Les relations entre elle et son fils ont toujours été tendues, la ‘‘Guerga3a’’ n’ayant jamais accepté la relation de son fils avec une femme de 24 ans son aînée (1953/1977). Alors que Boudou, Bou (père en arabe) Lætitia était bien content que sa fille épouse Johnny en viager. Comme quoi la guerga3a et le beau doux Boudou ont des visions diamétralement opposées sur le mariage intergénérationnel. Lætitia rencontre Johnny à Miami en mars 1995, selon les sources, dans un restaurant japonais ou dans une boîte de nuit appartenant à Bouha (son père en arabe) Boudou. Le 25 mars 1996, à Neuilly-sur-Seine, à l’âge de 21 ans, Lætitia, Bent Bouha Boudou (la fille de son père en arabe) épouse Johnny, de 31 ans son aîné, devant le maire de la ville, Sarra9 Zyte (littéralement ‘‘voleur d’huile’’ en arabe ou cafard en ‘‘Marocain’’), pas encore French President ni futur Terminator de la Lybie de 9adafou, pays qu’il a renvoyé direct au Moyen-Age comme le firent les Buissons Père & Fils (Bush en Anglais) pour l’Irak et la Syrie. Les habitants de ces trois pays avaient la triple peine de n’être ni zéropéens, ni majoritairement Chrétiens et encore moins Ukrainiens. L’entourage de Noguès, le Guerga3 occitan, fils de Pétain, pensait que les États-Unis seraient incapables, après leurs désastres maritimes initiaux dans le Pacifique, de disposer des navires nécessaires pour débarquer au Maroc.
En outre, les espions du Guerga3 qui prétendaient être capables de déceler la moindre sortie d’une « flouka » (felouque, barque de pêche) du port de New York, étaient formels : aucun navire des États-Unis ne s’annonçait au large, et donc aucune ne trace du débarquement massif prétendument allégué.
C’est donc, désinformé par son entourage, que le Guerga3 occitan, convaincu qu’on voulait l’« intoxiquer », déclencha la répression contre les gaullistes. Il appela alors ses colonels, ses chasseurs et ses spahis (spahis, ce serait un mot d’origine turque et persane, sipâhi, signifiant «soldat» qui a aussi donné cipaye ou sepoy). Sur l’ordre du Guerga3, ils vinrent encercler les insurgés, les sommant de se rendre. Pour le Guerga3, les résistants gaullistes mentaient ou avaient été abusés par la propagande américaine. (A suivre)