«Pluralité de l’information » qu’on nous rabâche ! Le « débat démocratique » pour « éclairer » le pauvre électeur, le « petit-CONtribuable meskine », le pauvre chômeur, la ménagère meskina avant qu’ils n’aillent voter pour les extrêmes ! En attendant le grand soir en 2027, les milliardaires haineux, au lieu de faire des dons aux restos du cœur de Coluche, d’aider les chercheurs de l’INSERM, du CNRS, de l’Institut Pasteur qui vivotent, d’aider les communes à retaper les piscines, construites dans les années 70, qui ferment les unes après les autres…, ils préfèrent investir dans les médias haineux comme eux. Actuellement Arnault (LVMH) – la première fortune du monde – veut se débarrasser du son journal Le Parisien qui lui coûte 300 millions de MAD (dirhams marocains) par an pour le fourguer à son pote Bolloré. Le milliardaire breton considère ce quotidien comme un journal de concierges qu’il veut transformer et en faire une référence pour compléter son empire et en faire un numéro 1 de la presse papier quotidienne comme il a réussi à faire de la chaîne CNews la première chaîne d’info en continue en France. Les deux « Lions » seigneurs de l’information se sont rencontrées, selon le Nouvel Obs, à Saint-Tropez, entre 2 cocktails parasol de midinettes, pour en discuter. Arnault, selon le Nouvel Obs, est exaspéré par ses journalistes de gauchistes qui ont fait du quotidien Le Parisien, un journal de concierges parisiens ! Bolloré s’en fout royalement des journalistes de ce quotidien, sans rire, pour lui c’est de la « racaille Trop Tskiste » qui pullulent dans les couloirs de la rédaction et il en fera son affaire : ils iront tous pointer au chômage sans se faire prier !
En septembre 2013, il rend hommage au maire sortant Bertrand Delanoë car il lui a permis la mise en place du service de voitures électriques Autolib, dont Bolloré est l’exploitant. Selon Le Monde, Bolloré s’intéressait jusque-là à la politique surtout lorsqu’elle servait ses intérêts financiers, mais il a évolué. En 2021, il a rencontré la quasi-totalité des prétendants de droite à la présidentielle, dont Retailleau, Wauquiez et Ciotti. Il leur a expliqué que la France et ses « racines chrétiennes » sont en danger. En décembre 2023, Le Monde documente l’ambition politique de Bolloré, qui se résumerait à un souhait d’une union entre la droite et l’extrême droite. Selon Le Nouvel Obs, le RN (Rat semblant National), le parti de Bent Bouha Le Pen is et la Bollosphère se rapprochent progressivement et partagent de plus en plus d’intérêts communs depuis la fin des élections présidentielles de 2022. Ce rapprochement est le résultat des faibles scores électoraux successifs d’OZZ 117 (Olivier Zitoune Zemmour).
Breton, tout comme Le Pen is, Bolloré lâche le Berbère algérien OZZ pour Bent Le Bled, la Marine bretonne Bent Bouha. En 2024, Bolloré est accusé par plusieurs médias d’utiliser son empire médiatique pour promouvoir une alliance entre le Rat semblant National et Les Républicains, facilitant ainsi la montée de l’extrême droite en France. Selon Le Monde, il a rencontré personnellement crâne d’œuf, le rital Éric Chiotti pour le convaincre de rejoindre le Parti breton de Bent Bouha. Bolloré crée sur Europe 1 l’émission « On marche sur la tête » animée par le Tunisien Cyril 5anouna pendant la campagne des élections législatives françaises de 2024, invitant principalement des personnalités proches de l’extrême droite. L’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel français, rappelle alors à la radio Europe 1 ses obligations en matière de « pluralisme » et « d’honnêteté » concernant l’actualité électorale. Bolloré emploie depuis janvier 2023, au sein d’une société de gardiennage assurant la sécurité d’une île bretonne qui lui appartient, le militant néonazi Marc de Cacqueray-Valmenier, chef de file du GUD, groupuscule d’extrême droite et impliqué dans deux affaires judiciaires pour violences. (À suivre)
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