Les études et le sexe, c’est un peu comme la prière et l’alcool. Vous pouvez abuser tant que personne ne vous ‘fait chier, même cette conscience à la noix peut aller s’envoyer en l’air si ça lui chante. En d’autres mots, les études et le sexe forment le paradis des pulsions libidinales. De nature, nous sommes vicieux ne serait-ce que par nos pensées, et nous avons tendance à tout sexualiser, même le moindre échange entre deux congénères de sexes opposés. Mais lorsqu’on s’évertue à «officialiser» d’une manière ou d’une autre le rapport, on est loin d’être le bon samaritain. On est conscient que le rapport est anormal, mais on persiste à le légitimer pour qu’il devienne une sorte d’abonnement ouvert : être en interaction sexuelle. La perpétration peut s’engager parce que la consommation est généreuse et peu coûteuse. Prenez les masters par exemple … on dirait des PME en quête de salariés ou de clients. Les concours ressemblent à des séances de casting, et là, certaines PME sont très exigeantes : plus de gonzesses que de gonzes, des produits venus de toutes parts. Quels que soient les critères de sélection, la rondeur (être bien foutue) pourrait constituer un facteur de différenciation fonctionnelle sur du long terme, parce qu’il s’agit d’un investissement physique ; il faut qu’il soit rentable, sinon l’affaire n’est pas juteuse … ou plutôt jouissive.
Plus tard, la PME pourrait s’agrandir pour devenir une PMI (doctorat), et là, le risque psychosomatique est à 50-50 et vous aurez besoin d’alliance(s) pour garder votre fonds de commerce et aller jusqu’au bout, advienne que pourra. De toute évidence, l’approche genre est des plus pourries, si l’on juge par la capacité et la propension des prétendantes à s’y soumettre honteusement ou de gré à gré, mais le risque le plus incalculable c’est quand cette approche vous jette dans la gueule du loup, ou de la louve, et fait de vous un laissé pour compte. Dans cette histoire, tout est basé sur le déséquilibre absolu (statut, âge et endoctrinement). Ça s’appelle une condamnation, si ce n’est une exécution. Mais le plus drôle dans tout ça c’est que très souvent tout le monde en sait quelque chose, et tout le monde est complice et préfère dire tout bas ce qu’il pense tout bas. Le comble de l’hypocrisie.
Souvent, il est difficile de garder un semblant de convenance dans notre milieu, puisque personne n’est parfait pour toujours, mais à l’opposé, aucune fille ne consent à ce jeu, à moins d’y trouver son intérêt. Essayons de visualiser le concept autrement : certains se cachent derrière la façade de leur statut : l’autorité professorale, mais sont inconscients de la frontière entre la vie intime et la vie professionnelle. Arrivés à un certain âge, ils ne savent plus qui ils sont et refusent d’être le gâchis pathétique de la vie et de leur profession. Bref, ils font une crise identitaire. Pour les aider à surmonter cette épreuve, mettons à leur disposition des minettes bonnes à déclencher des érections massives, sinon va pour des créatures velues, difformes et aussi moches et repoussantes que la gueule et les fesses d’une sorcière, ça les excitera moins.