Un journaliste passionné et de valeur s’en va…

Une disparition prématurée.

La presse nationale a été de nouveau endeuillée par le décès de Réda Dalil, le rédacteur en chef de Tel Quel. Journaliste talentueux, professionnel jusqu’au bout des ongles,  homme d’une extrême courtoisie, notre confrère est parti,  le 19 mars,  dans la fleur  de l’âge, à 45 ans, succombamt lors d’une opération  chirurgicale pour soigner une maladie  dont il se croyait définitivement remis. « Réda avait lutté contre une longue maladie en 2020. Il s’était rétabli avant de connaître une rechute et subir une intervention chirurgicale qui a connu des complications», a annoncé TelQuel sur sa page Facebook. Sa disparition prématurée a plongé sa famille et ses amis dans une  grande stupeur mâtinée d’une tristesse déchirante. «Réda avait lutté contre une longue maladie en 2020. Il s’était rétabli avant de connaître une rechute et subir une intervention chirurgicale qui a connu des complications», écritTelQuel sur sa page Facebook. Financier de formation, Feu Dalil quitte en 2008 son job dans une multinationale anglaise où ce natif de Casablanca se sent de plus en plus à l’étroit pour s’abandonner à sa vocation  première,  sa passion d’enfance : l’écriture. Le journalisme n’est pas loin, qui lui ouvre ses bras, lui offrant l’occasion de donner la pleine mesure de son talent . Celui qui fera  ses premières armes  dans les hebdomadaires Le Temps et  Économie & Entreprises s’est également distingué comme romancier avec deux livres salués par  la critique,  «Le Job», qui lui a valu le prix de la Mamounia 2014, et «Best-Seller, œuvres conçues comme des satires sociales où il dénonce toute en finesse les travers  et les paradoxes de la société marocaine. Le Canard présente ses condoléances les plus attristées à sa famille et à ses collègues de Tel Quel. Paix à son âme. Nous sommes à Dieu et à Lui nous retournons.

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