L’armée terroriste de l’État sioniste a annoncé récemment avoir approuvé des plans pour une offensive au sud Liban. Le Hezbollah a répondu en menaçant de frapper le territoire de son ennemi juré en profondeur en cas de guerre ouverte.
Alors que la guerre génocidaire menée contre les sionistes ne faiblit pas contre Gaza et ses habitants, un autre conflit au Moyen-Orient montre encore des signes d’escalade ces derniers jours: celui entre Israël et le mouvement libanais Hezbollah. Les provocations de l’occupant sioniste font craindre une guerre à grande échelle. Le ministre des affaires étrangères israélien, Israel Katz, avait déclaré : «Nous sommes très proches du moment où nous déciderons de changer les règles du jeu contre le Hezbollah et le Liban. Dans une guerre totale, le Hezbollah sera détruit et le Liban sera touché durement.»
L’armée israélienne, tueuse d’enfants, de bébés et de femmes, dit avoir validé des «plans opérationnels pour une offensive au Liban ».
En réponse à la rhétorique guerrière de son ennemi, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah a averti qu’« aucun lieu » en Israël ne serait épargné par les missiles de son mouvement en cas d’attaque. Il a également menacé l’île méditerranéenne de Chypre, affirmant que « l’ouverture des aéroports et des bases chypriotes à l’ennemi israélien pour cibler le Liban signifierait que le gouvernement chypriote est partie prenante de la guerre ». « Je crois que d’ici quelques semaines, nous verrons une opetaipn israelienen au Liban » de plusieurs mois, a affirmé à l’AFP Nitzan Nuriel, ancien directeur du département israélien de lutte contre le terrorisme. L’opération serait conjuguée à des frappes aériennes à travers le pays « pour leur montrer le prix à payer », at-il précisé. Mais en cas de guerre contre le Hezbollah, c’est le Liban, aux prises avec une crise économique sans précédent entraînant d’importantes pénuries de produits de première nécessité, notamment des médicaments et du carburant, qui risque de payer un lourd tribut a l’agression sioniste. Le colonisateur sionistem dont la soldatesque a été épuisée par sa guerre génocidaire contre les gazaouis, courent aussi le risque d’être dévasté par un déluge de missiles du mouvement de résistance chiite.