« Modernité interdite », un essai de Ali Boutda

«Aux débuts des années cinquante du siècle dernier, de grands mouvements de décolonisation, permirent l’éclosion d’une centaine d’Etats en Amérique, en Asie, ainsi qu’en Afrique. Toutes ces nouvelles nations, eurent des débuts laborieux : pauvreté, guerres civiles et dictatures. Cinquante ans plus tard, une vingtaine d’entre elles purent rattraper leurs retards et n’ont désormais plus grand-chose à envier à l’Occident. D’autres sont en train de se moderniser à grand vitesse, en adoptant les principes fondateurs de la modernité, tel que les libertés individuelles, les droits de l’homme et la souveraineté au peuple. » 4e de couverture.

Dans cet essai publié chez Le Fennec et sorti en juin 2022, « le lecteur n’aura pas affaire à un discours de spécialiste ou de chercheur offrant des perspectives de quelqu’un qui « sait ». Il n’y sera pas exposé à une érudition qui renvoie à des savoirs ou des conceptions établis. Il y trouvera plutôt une quête méthodique et minutieuse de sens, de la part de quelqu’un qui vient au sujet avec un esprit et un regard frais. Quelqu’un qui présente une combinaison assez rare de volonté de comprendre et de capacité de le faire par une combinaison d’observations directes et un travail approfondi sur les recherches récentes. À cela, s’ajoute l’art de l’écriture claire et parfaitement compréhensible par le grand public.» L’éditeur.

L’auteur « part d’une question lancinante qui n’a cessé de tourmenter les esprits. Pourquoi l’Orient n’arrive-t-il pas à se développer comme la plupart des autres pays du globe ? Pour répondre à cette question ». Adil Boutda affirme avoir adopté « une approche systémique en recherchant les causes politiques (première partie), économiques (deuxième partie) et culturelles (dernière partie) ».

Adil Boutda est né en 1970 à Casablanca. Il obtient un diplôme d’ingénieur en 1993. Actuellement, il est gérant d’une PME.

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