Tout en continuant à subir les massacres de l’armée des terroristes sionistes, les survivants de Gaza nord sont aux prises avec une famine de grande ampleur.
Pénurie de tous les produits de base. Y compris la farine. Honte à l’Occident complice.
Pour se nourrir et nourrir leurs enfants, les Gazaouis en sont réduits, comme le montrent plusieurs vidéos circulant sur le Net, à recourir au broyage d’aliments pour bétail pour en faire des galettes de pain ! Conséquence de plus de 5 mois de bombardements aériens sauvages et de siège de l’enclave et d’embargo sur l’aide humanitaire imposé par les assassins de Tel Aviv. Faute de nourriture saine, les enfants de Gaza attrapent des maladies provoquées par la malnutrition.
Selon les données du ministère de la Santé palestinien, environ 600 000 Palestiniens dans le nord sont menacés de mort en raison des bombardements israéliens, de la famine et des maladies.
Affamer toute une population en le soumettant aux pires tueries est une situation qui dépasse ce qui est humainement imaginable, tolérable. Mais la communauté internationale, essentiellement l’Occident complice conduit par les États-Unis, n’en a cure. Ce n’est après tout que des Palestiniens, les affamer après les avoir exterminés est inscrit dans l’ordre naturel de leurs conditions de damnés de la terre qui doivent soumission à leurs maîtres sionistes, doivent se dire dans leur infinie inhumanité hypocrite Joe Biden, Justin Trudeau et leurs vassaux européens.
C’est dans ce contexte sans précédent dans l’histoire contemporaine que Washington a encore une fois opposé mardi 20 février son veto, son troisième depuis le début du début du génocide sioniste à Gaza, à une résolution exigeant « un cessez-le-feu humanitaire immédiat qui doit être respecté par toutes les parties ». Ce texte a recueilli treize voix pour, une abstention (Royaume-Uni) et une contre. Les choses sont de plus en plus claires comme un miroir. Les crimes de guerre effroyables et toutes les atrocités commises par l’armée d’occupation terroriste à Gaza sont couverts par l’administration américaine qui lui fournit d’ailleurs le matériel de guerre pour tuer du Palestinien. Quant à son chef de la diplomatie, Anthony Blinken, il ne fait des tournées dans cette région transformée par l’américano-sionisme en champs de ruines et de malheur que pour aider Netanyahou à libérer, avec la médiation des vassaux US du Golfe, les otages israéliens encore détenus par le Hamas. Quant au martyr des Palestiniens soumis aux pires traitements, il s’en fout comme de sa première chemise…