Ces humoristes qui ont présidé aux destinées de la Raie publique

Le Président d’origine magyar par son père Pál Sarközy de Nagy-Bocsa, primo-migrant né en 1928 en Hongrie, est sans doute le meilleur humoriste, même si son maniement de la langue française laisse à désirer. A La Baule, le 5 septembre 2015, devant l’aile dure de la Droite, lors de l’un de ces regroupements prétendument nommés « Universités d’été », qui en réalité sont des stratagèmes pour se faire financer le militantisme par l’argent de la formation continue, donc par les deniers publics, le comique magyar Sarra9 Zyte Sar9ozy (voleur d’huile en arabe, cafard en marocain et petit marécage en magyar selon le comédien français d’origine hongroise, Laurent Deutsch) prononça ce discours d’anthologie : «Dans l’identité française à laquelle je crois, il y a quelque chose que je suis attaché [sic], c’est que la France, de toute éternité, a toujours été du côté des opprimés et toujours été du côté des dictateurs, toujours été du côté de celui qui était jeté en prison parce qu’il croyait dans ses idées.».

Pour ceux qui pourraient être surpris par la piètre qualité du Français du Magyar, je fus obligé de rajouter l’adverbe latin [sic] (sic erat scriptum, « ainsi fut-il écrit») inséré après le passage précité pour indiquer que le propos a été transcrit exactement comme il fut prononcé par le Magyar qui, comme OZZ 117, le Berbère judaïsé d’Algérie, Olivier Zitoune Zemmour, se la joue plus identitaire français que les Français eux-mêmes, et ne peut pas être interprété comme une erreur de transcription de ma part. J’avoue que le [sic] a aussi été inséré de manière sarcastique, pour attirer l’attention sur les fautes de Français de l’auteur original qui durant son mandat de président a libéré la parole raciste. Ce discours de la Baule avait fait à l’époque la joie des médias. Le géniteur du ministère de l’identité nationale fut aussi le destructeur de la Lybie avec l’appui des ‘‘cas tarés’’ du Golfe arabo-persique. Pas besoin de rappeler à certains que le tueur du dictateur Gadafou l’avait aussi reçu en décembre 2007 et l’avait laissé planter sa tente dans les jardins du palais de l’Elysée. Après ce rappel de la réception grandiose du dictateur Gadafou, on se repasse encore une fois la bande du sketch du Magyar juste pour le plaisir: «Dans l’identité française à laquelle je crois, il y a quelque chose que je suis attaché [sic], c’est que la France, de toute éternité, a toujours été du côté des (…) dictateurs ».

A un journaliste qui lui demandait s’il allait revenir à la politique et sur la nécessité de son retour, le Magyar répondit « Je ne peux pas rester dans ma maison… quelque soient les charmes qui y habitent ». Le journaliste a compris que les charmes qui habitent sa maison seraient la chanteuse ‘‘aphone’’ Carla Bruni et sa fille Giulia qui apprécieront. Sur son probable retour à la chose politique : « J’ai continué à suivre la politique. Je ne peux pas changer ». En réponse à ceux qui lui demandent s’il n’est pas déjà en campagne en proposant plusieurs pistes de réformes : « Si je ne parle pas de la France, je vais parler de quoi ? ».

Quand il était président de la Raie publique, il aurait essayé en vain de débaucher le fier matador catalan, Manuel Valls. Cela ne l’empêche pas de critiquer son comportement avec Mamie Merkel en tant que premier ministre de François Hollande : « Quand j’ai vu le premier ministre aller en Allemagne tout joyeux et revenir beaucoup plus silencieux… Franchement… Je n’ai jamais vu un dirigeant aller dire à l’Allemagne ‘‘s’il vous plait, allez moins vite, on arrive pas à suivre !’’ ».

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