Entre Dominique Voynet et Lionel Jospin, c’est une histoire non pas platonique, mais atomique. La Voynet a donné l’avoinée au trotskiste Jospin ! Ce rouge qui s’est fait ripoliner en rose pour essayer de devenir président de la République s’est fait lamentablement sortir par Le Pen au premier tour des érections présidentielles de 2002… C’était bien La Peine de se présenter pour se vautrer ainsi, ça n’en valait pas Le Pen… Depuis, après avoir reçu l’avoinée de sa vie, l’ex-trotskiste s’est définitivement retiré de la vie politique. Ce garçon aura porté un coup fatal à la recherche française en sabordant le projet nucléaire Superphénix qui avait couté 10 milliards d’euros pour sa construction… Actuellement, ce site coûte « un pognon de dingue » pour sa déconstruction…
La défense de l’actuelle Présidence de la République consistant à rappeler qu’elle a repoussé l’objectif de 50 % de nucléaire dans le mix électrique de 2025 à 2035 pour « donner de la visibilité à la filière » est assez légère : c’était uniquement pour draguer Nicolas Hulot… La hulotte a fini par s’envoler dans la nuit noire en claquant des ailes la porte de la Macronie quand elle a constaté que le grand-duc, l’actuel résident du Palais de l’Elysée se foutait de sa gueule de chouette. Et même si Macroute repousse l’échéance de 50 % de nucléaire, il ne peut pas faire l’électrification des usages et de l’hydrogène sans augmenter la production d’électricité décarbonée. Or Macroute n’en a pas tenu compte, et n’a pas remis en cause la loi de transition énergétique et de croissance verte qui tablait sur une consommation électrique qui stagnerait. Une fois n’est pas coutume une sénatrice rattachée au groupe communiste, abonde dans ce sens… Selon elle, la première responsabilité, c’est celle de l’Etat français, qui est clairement dans une fuite en avant. On ne peut pas dire qu’EDF n’avait pas travaillé sur les nécessités financières sur le grand carénage, c’est l’Etat qui a tergiversé et a fait l’autruche sur les besoins financiers, puis a trouvé un bouc émissaire qui est le président d’EDF.
La France n’a jamais voulu avoir une confrontation objective avec les écologistes sur ce sujet pendant le quinquennat gauche (et non pas de gauche) de Franck Netherlands – quinquennat qui s’est rétréci en tri-nanas (François Hollande avait un comportement qui a rendu ces trois nanas folles : Ségolène Royal, Valérie Trierweiler et Julie Gayet). Depuis Jospin, chaque nouvel arrivant aux affaires faisait comme si en diminuant le nucléaire, on allait faire plus d’énergies renouvelables. Qu’il est loin, le temps des pionniers de l’indépendance énergétique de la France… Des personnes de la trempe de Marcel Boiteux, né en 1922, aujourd’hui un peu plus que centenaire, ont disparu des cercles du pouvoir et ont été remplacés par des communicateurs zélés qui se réveillent à 4 du matin, pour être à l’heure aux séances de maquillage des 3 chaines de télés-diarrhée-infos-continues appartenant aux trois milliardaires Bolloré, Bouygues et Drahi… Après la séance de maquillage de 6 h du matin, ils révisent les punchlines à asséner aux journaleux animateurs des matinales de ZNews, LCI, et autres BFM télés des 3 milliardaires précités ! Mais revenons à notre mouton de l’aïd pas boiteux du tout ! Marcel Boiteux a suivi sa scolarité au Lycée Montaigne à Bordeaux…(À suivre)