Le Maroc, nouvel eldorado de la maintenance des avions

Le Maroc a présenté ses avancées dans le domaine de l’aviation au Salon du Bourget 2025. Ce Salon se présente comme la vitrine mondiale des dernières innovations et avancées technologiques dans l’industrie aéronautique. Un domaine où la France reste la championne du monde. La marque Boeing va très mal. Le drame de son récent crash en Inde n’a pas arrangé son image pendant le salon du Bourget. Une semaine après le crash d’un Boeing 787 d’Air India au décollage, une petite turbine à air est au cœur de l’enquête. Si son déploiement avant l’impact venait à être confirmé, elle indiquerait en effet un probable arrêt des deux moteurs du Boeing 787 d’Air India. Selon le site web du gouvernement français (voir adresse URL en fin de texte), le transport aérien au Maroc est un outil stratégique de développement depuis plus de 20 ans. Ça ne date donc pas d’hier. Au salon de l’avion du Bourget 2025, qui s’est tenue en France du 16 au 22 juin 2025, le Maroc se positionne comme un eldorado de la maintenance des avions. Avec ses projets, le Maroc vise à se positionner comme un centre leader dans le secteur de l’aviation et de la défense, en profitant du potentiel des industries implantées à Tanger et à Casablanca.

Il s’agit de renforcer sa souveraineté technologique et d’investir dans les industries de défense, tant dans les infrastructures que dans le développement d’installations pour la fabrication et l’assemblage d’avions modernes. Selon le gouvernement marocain « le Royaume du Maroc a œuvré, dans le cadre du défi auquel est confronté le secteur de l’industrie aéronautique, qui est de diversifier les axes de développement et de passer des industries civiles aux industries de défense, à renforcer son arsenal juridique en matière d’industrie militaire, en plus de généraliser le bénéfice des activités de cette industrie sur la base d’un ensemble de mesures qui concernent le soutien aux investissements à caractère stratégique conformément à la loi-cadre en tant que charte d’investissement ». ATI (Aerotechnic Industries) est un centre de maintenance et de contrôle technique des avions d’Air France, de Royal Air Maroc et de différentes compagnies aériennes européennes et africaines basé à Casablanca du côté de Nouaceur. 

ATI est une filiale commune à Air France et Royal Air Maroc qui emploie plus de trois cents personnes et effectue chaque année jusqu’à soixante-dix maintenances lourdes d’avions moyen-courrier (famille A320 et B737NG), en conformité avec la réglementation Européenne EASA Part 145, la DGAC marocaine et les différentes autorités de l’aviation civile africaine. Idéalement placée près de l’Aéroport Mohamed V, principal hub du continent africain, ATI est au confluent des principaux courants aériens d’Europe et d’Afrique. Le Maroc met donc les bouchées doubles pour la mise en place de cet écosystème. Pour ce faire, il travaille d’arrache-pied pour mettre en place des industries dédiées à la maintenance d’avions militaires. Dans cette perspective, le Maroc a conclu un accord avec le groupe Sabena Aérospatial ingénierie S.A, du groupe Blueberry. Il est question d’un grand projet de de maintenance, la réparation et la mise à niveau des aéronefs militaires, dont les avions de chasse et les hélicoptères des plateformes de Lockheed Martin. Ce centre sera érigé sur une superficie de 15.000 m² à l’aéroport de Benslimane.

Plus de 300 emplois seront créés grâce à ce projet. A quelque chose malheur est bon ! Le proverbe « à quelque chose malheur est bon » signifie qu’un malheur a quelquefois des conséquences heureuses. On pourrait presque dire « merci 5ouya cher voisin de l’Est » pour la pression que tu nous mets depuis 1976 ! Et aussi, tel « Petit Poucet », merci pour les cailloux que tu n’as jamais arrêté de mettre dans nos babouches, pour nous empêcher de progresser et de créer des emplois haut de gamme pour nos enfants, nos neveux, petits neveux et arrières petits petits fillous. Alors que l’attention mondiale est dirigée vers le conflit entre Lihoude et les Perses, des ordres pour retirer des drones et des armes fournies par les Perses au « Poli5ari fi seroualou » auraient été donnés par le « cher 5ouya voisin de l’Est ». Sa manœuvre au « cher 5ouya voisin de l’Est » s’inscrit dans une redirection de l’attention sur le programme nucléaire perse en ce moment. 5ouya cher voisin de l’Est chercherait à éviter que le « Poli5ari fi seroualou » ne soit directement lié au régime perçant et classé comme organisation terroriste par les pays occidentaux. (À suivre)

Site web précité : https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/documents/dossier_maroc.pdf

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