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Hakimi victime d’un coup (pas) franc ?

Achraf Hakimi dans de mauvais draps.

Le Lion de l’Atlas le plus adulé du public marocain est au centre d’une affaire de viol un peu similaire à  celle son compatriote le chanteur saad Lamjarred qui vient d’en prendre pour 6 ans. Troublant…

Révélée d’abord par le quotidien français Le Parisien dans son édition du lundi 27 février, l’information sur un supposé viol commis par l’international marocain Achraf Hakimi s’est répandue aussitôt comme une trainée de poudre, relayée à grande échelle par les médias en ligne et les réseaux sociaux. Cette affaire troublante est à rebrousse-poil de l’image de jeune homme  gentil et rangé que l’international évoluant au PSG a jusque-là cultivé.

Les accusations sont portées par  une femme de 24 ans qui s’est rendue au commissariat de Nogent sur Marne (Val-de-Marne) pour déclarer avoir été violée le samedi 25 février domicile du footballeur le plus apprécié du public marocain. Voilà la réputation de l’idole  du public marocain subitement entachée par une histoire qui risque – si ce n’est déjà fait – de briser sa carrière et son couple. Entre surprise et incrédulité,  ses fans soupçonnent illico un coup monté… Par qui ? Pas de réponse. Sur les réseaux sociaux, les partisans des thèses conspirationnistes ne boudent pas leur plaisir, laissant entendre que cette affaire dégage les mêmes relents que   l’affaire Pegasus ayant fait du Maroc, sur la base de simples allégations,  un champion des écoutes téléphoniques illégales…

Et puis quelle drôle de coïncidence ! les accusations à l’encontre de Hakimi, qui a rejeté en bloc ce qu’il a qualifié de pures allégations, interviennent à quelques jours d’intervalle de la condamnation le 24 février par la cour d’assises de Paris dans une affaire similaire du chanteur marocain  Saad Lamjarred à 6 ans de prison ferme ! Le grand délire complotiste dans toute sa splendeur  prospérant sur le terrain  du désamour  maroco-francais.

On n’est pas loin de penser qu’une cinquième colonne a mis désormais les stars marocaines de France dans le viseur ! Certains internautes  ont choisi la dérision pour commenter l’affaire naissante de Hakimi en  conseillant à Azeddine Ounahi, qui vient de débarquer à l’Olympique de Marseille, de prendre les devants et de se livrer  à la police !  Quant à Sofiane Boufal, il aurait flairé le coup puisqu’il a quitté début février  son club d’Angers pour Al-Rayyan qatari.  

Mal lui en a pris

Mais qu’a raconté la supposée violée à la police ? Dans sa disposition, celle  dont l’identité n’a pas été révélée explique avoir fait connaissance avec Achraf Hakimi en janvier sur le réseau social Instagram, indiquant s’être rendue samedi soir chez lui dans un VTC (voiture de transport avec chauffeur) commandé par le maître de céans. Le plaignante, dont on ne sait pas à ce stade de l’affaire si elle est une adepte des amours tarifées ou une piégeuse des stars fortunées, livre au policier qui recueillait son témoignage plus de détails sur  sa rencontre intime avec le défenseur du PSG. Selon ses dires, le joueur l’a embrassé et commis des attouchements sans son consentement avant de la violer. Elle  ajoute avoir repoussé en assénant un coup de pied à celui qui est passé maître dans l’art des  coups francs directs qu’il  marque de son pied droit foudroyant.

Pendant cette soirée, l’arme fatale ce n’était pas lui. Mais cette inconnue que le footballeur aurait dragué sur le Net pour être en galante compagnie pendant que sa femme et ses enfants prenaient du bon temps a Dubaï. Mal lui en a pris! Les journaux hexagonaux qui ont rapporté cette histoire ne sont pas interrogés sur les attentes exactes de cette sacrée sainte-nitouche et ce qu’elle était allée chercher exactement en se rendant de manière volontaire dans la tanière du Lion de l’Atlas. Un petit stage intime sur les techniques pour tirer un bon coup (franc) ?

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